vendredi 10 avril 2020

Covid-19 : renforcer son immunité naturellement


A moins de retrouver ses 20 ans, on peut tenir éloigné le covid-19 en stimulant ses défenses immunitaires. On peut pour cela consommer plus de certains aliments, des produits naturels, des compléments vitaminés, respirer des huiles essentielles et avoir chez soi quelques médicaments homéopathiques. Voici en résumé différents moyens naturels pour renforcer son immunité et se prémunir. 
Attention : Même naturels, aucun produit n'est à consommer ou à utiliser de façon permanente.  Une cure de 2 à 3 semaines est recommandée puis faites une pause. Renseignez-vous auprès de votre médecin, pharmacien, livre  ou site spécialisé si vous ne savez pas consommer ou utiliser un produit cité. 
Il existe de nombreuses sociétés proposant des compléments alimentaires stimulant l'immunité. Acheter uniquement sur les sites web connus et Refuser tout produit dont le prix serait supérieur à 70€. 


En priorité PORTER UN MASQUE, DES GANTS ET SE LAVER LES MAINS 

Produits naturels

  •   Propolis
  •    Nigari ou chlorure de magnésium (nettoyage du nez, gargarismes et à avaler)
  •    Extrait de pépins de pamplemousse


Vitamines

  •   Vitamine D3 (jusque fin avril ou au-delà si vous ne sortez pas au soleil)
  •   Vitamine C au moins 1G/jr, plus si malade
  •  Quercétine. La quercétine est un puissant antiviral qui empêche le virus de se répliquer et est un excellent protecteur pulmonaire 
  •  zinc,  Un article de Marion Kaplan    
  • Sélénium
  • Huile de foie de requin :  Alkyl glycérol
  •  Probiotiques 
  • Compléments alimentaires :  Personnellement, je fais confiance à Régulat,  Dr Rath,  Quinton, D-Plantes, Catalyons, Sofinov. ce qui n'exclue en rien les qualités d'autres fabricants.

Alimentaire
  •  Légumes fermentés
  •  Graines germées 
  • Lactobacillus
  •  Ail, oignon, gingembre, curcuma


Huiles essentielles : Toujours faire un test de réaction allergique !

Mettez une goutte sur vos poignets et respirez-les régulièrement. Il existe aussi le complément PhytoBV®  intégrant 5 ingrédients naturels antiviraux.
  •  Ravinstsara
  • Tea tree
  • Laurier noble
  •  Eucalyptus radié

Homéopathie[1]
Consulter votre médecin ! 

  •    Prenez de l’échinacée pour booster vos défenses immunitaires SAUF si vous avez une maladie auto-immune car cela alimente l’autodestruction de votre système immunitaire !
  •    Gelsemium 9ch ou 30ch contre l’anxiété ambiante
  •    Sérum de Yersin en 7ch, 3gr x 3fois par semaine si la fièvre apparaît.


Des anticoagulants : le SARS-COV-2 réduit l'oxygène dans le sang. On peut fluidifier le sang (sauf bien sûr pour les hémophiles et tendance !)
  •   Omega 3 ou
  •  macérat de bourgeons de cornouiller sanguin, un remède anti-thrombotique qui draine les artères et a une action anti-inflammatoire (en teinture mère 10 à 15 gouttes trois fois par jour) ; ou
  •   Vipera Redi, un à trois granules toutes les deux heures, remède homéopathique anticoagulant à base de venin de serpent

Bannir

Le système immunitaire est plus puissant en temps de fièvre. Si vraiment la fièvre est trop haute (environ 40 degrés), prenez un bain à 38 degrés si vous le pouvez.

  •  Junk food, sucre, alcool et tout ce qui favorise le diabète et l'hyper-tension
  •  Ibuprofène et consort
  •  paracétamol (Doliprane®, Efferalgan®)
  • cortisone (Cortancyl®)
  •   anti-inflammatoires, même sous forme d’huile essentielle (gaultherie, ylang ylang, eucalyptus citroné et toutes les huiles essentielles à tendance citronée mélisse, citronnelle etc.)




[1] . En commande dans votre pharmacie ou sur https://www.pharmacie-homeopathie.com/

vendredi 21 février 2020

Communication entre thuyas


Les plantes communiquent entre elles, c’est désormais un fait scientifiquement démontré.
Elles communiquent entre elles, notamment en cas de stress comme une attaque par des parasites qu’ils soient champignons ou animaux. Leur mode de communication passe par leurs réseaux racinaires ou par des émissions de phéromones.

Lors de mes méditations, je plonge mes racines en terre et vais m’ancrer auprès de racines bien profondes que sont celles des arbres et arbustes proches. Mon enracinement est d’ordinaire paisible sauf en ce jour d’abattage d’une longue rangée de thuyas, hauts de plus de 10 mètres et ayant certainement plus de 30 ans. Les arbres concernés sont pourtant situés à une centaine de mètres des thuyas auxquels je me connecte.
En rejoignant donc le réseau racinaire, je ressens un stress important. Ma rangée de thuyas (sans doute aussi âgés) vibre d’une inquiétude et d’un certain mal-être. Voici ce que je perçois :
« Oui, nous ressentons leur stress car cette distance (100 mètres) n’est rien pour nous. Nos racines sont interconnectées. Nous comprenons qu’il y a danger car nos racines nous transmettent de la douleur. Nous craignons pour nous également.
Nous ne pourrons plus échanger avec eux et cette connexion va nous manquer. C’est important d’être connectés les uns aux autres car nous faisons circuler de l’information et de l’énergie. Nous nous connaissons et nous soutenons. »
Je confirme que leurs vieux amis vont tous être déracinés et profite de cet échange pour demander l’impact de la taille annuelle : « Tant que les jeunes pousses sont taillées, cela ne nous dérange pas. En revanche, si la taille impacte des branches déjà plus anciennes cela nous est douloureux »

J’aimerais en conclusion recommander à chacun de prévenir les arbres et arbustes des tailles, coupes et déracinements à venir. Averti, l’arbre pourra faire redescendre autant que faire ce peut l’énergie dans ses racines et moins souffrir. L’effet de surprise sera également évité.
Tout arbre est vivant. Si une essence passe de mode, même pour des raisons écologiques, l’abattre génère du stress et de la douleur. Peut-on laisser une chance au végétal le soin de mourir de son plein gré ? 
photo : troncs de thuyas après abattage

dimanche 22 décembre 2019

Main basse sur l’eau


Nouveau site web https://ecoutesoins.wordpress.com/
« Ce n’est pas parce que l’eau est la vie qu’elle ne doit pas avoir un prix. »
Annonce fièrement Willem Buitter conseiller spécial citigroup dans l’excellent documentaire dénonçant la marchandisation de l’eau.
« Il faut faire payer aux gens le véritable prix de l’eau, pour qu’ils réalisent qu’à chaque fois qu’ils en boivent une gorgée, il y a un coût. Il faut qu’ils le sentent au niveau du portefeuille. Comment les convaincre de réduire leur consommation si vous leur donnez gratuitement ? » « La motivation des marchés est le profit.  C’est le meilleur des mondes : qu’est-ce qu’il pourrait y avoir de mieux ? Pourquoi serait-il immoral de commercialiser l’eau ? » Parce que l’eau c’est la vie !  (propos de la 49’50’’ à 51’52)



En Australie, l’eau est un bien marchand et cotée sur les marchés, depuis 2008. Quand il pleut, la valeur de l’eau baisse et s’il fait chaud, sa valeur grimpe. Depuis 2015, sa valeur n’a cessé de monter, jusqu’à tripler. Cette marchandisation de l’eau a mené nombre d’agriculteurs/éleveurs à la faillite, incapables de débourser suffisamment pour étancher la soif de leurs bêtes ou pour cultiver l’indispensable fourrage.  
En 2010, une militante canadienne a réussi à faire voter par les Nations Unies la résolution de l’accès à l’eau comme un droit universel. Parmi les 41 pays abstentionnistes, on peut citer l’Australie, les États-Unis, la Grande-Bretagne. 
Pays dont les financiers tentent toujours d’imposer la marchandisation de l’eau dans l’unique perspective de profits, stimulés par le réchauffement de la planète et l’augmentation de la population.


En Californie, les écologistes soutiennent cette marchandisation espérant réguler l’usage de l’eau et maintenir des environnements sauvages. Mais ne poussent-ils pas le loup dans la bergerie ? Car le jour où l’eau manquera, le jour où son prix s’envolera, le pauvre ne pourra plus se payer l’eau nécessaire à sa vie, à son hygiène et à la culture de son propre potager, tandis que le riche pourra continuer à plonger dans sa piscine.  Le pauvre ne pourra plus s’acheter de légumes ! Il mourra de soif et de nutriments.

Je vous encourage à regarder ce documentaire de Jérôme Fritel, pour qu’à la moindre tentative de marchandisation de l’eau, nous réagissions et nous révoltions.