Deuxième post
sur ce blog pour 2016 ! Un long silence qui s’explique dans le titre.
Fin janvier j’emménageai
dans une maison avec jardin, un peu éloignée de la gare. Je fus évidemment bien
prise par cet emménagement qui s’ajoutait à mon activité.
Il fallut presque
un mois pour trier, laver, récupérer, nettoyer et évacuer matériaux et biens
personnels. Il fallut vider tout l’espace rendu inutilisable et moisissant.
Les travaux de
restauration nous ont permis d’assainir cet étage auparavant « humide et
froid ». J’étais d’ailleurs tombée malade à cause des moisissures antérieures
à l’achat par manque de ventilation. Nous avons gagné en confort thermique et
sanitaire. Sans cette inondation, nous ne nous serions pas engagés dans des
travaux aussi importants.
En dépit de ces
5 mois épuisants, exigeants et stressants, nous célébrons l’événement et
remercions le ciel de nous avoir « bénis ».
« A toute
chose malheur est bon » dit le dicton. Comprendre l’aspect positif d’un
événement malheureux peut parfois prendre jusqu’à des années. La déesse
indienne Kâli est vénérée pour sa force de destruction car elle apporte la
reconstruction. La sagesse indienne, même si elle exige patience et
acceptation, nous enseigne la démarche à suivre.