lundi 28 novembre 2016

Un mal pour un Bien

Deuxième post sur ce blog pour 2016 ! Un long silence qui s’explique dans le titre.


Fin janvier j’emménageai dans une maison avec jardin, un peu éloignée de la gare. Je fus évidemment bien prise par cet emménagement qui s’ajoutait à mon activité. 

Quatre mois après cette période exigeante, un violent orage a inondé deux communes et leurs maisons, dont la nôtre. Notre rez-de-jardin baignait dans 25 cm d’eau. Ce fut une catastrophe à notre échelle personnelle. Non contente d’avoir envahi mon domicile, l’eau envahissait mes nuits !

Il fallut presque un mois pour trier, laver, récupérer, nettoyer et évacuer matériaux et biens personnels. Il fallut vider tout l’espace rendu inutilisable et moisissant.
Les travaux de restauration nous ont permis d’assainir cet étage auparavant « humide et froid ». J’étais d’ailleurs tombée malade à cause des moisissures antérieures à l’achat par manque de ventilation. Nous avons gagné en confort thermique et sanitaire. Sans cette inondation, nous ne nous serions pas engagés dans des travaux aussi importants.
En dépit de ces 5 mois épuisants, exigeants et stressants, nous célébrons l’événement et remercions le ciel de nous avoir « bénis ».


« A toute chose malheur est bon » dit le dicton. Comprendre l’aspect positif d’un événement malheureux peut parfois prendre jusqu’à des années. La déesse indienne Kâli est vénérée pour sa force de destruction car elle apporte la reconstruction. La sagesse indienne, même si elle exige patience et acceptation, nous enseigne la démarche à suivre.